Textes et photos Alain Lambert
Pour être bien vu dans la rue, on peut avoir un (ou plusieurs) Shiba Inu. Ils vous donneront, c’est certain, un petit côté exotique. A Paris c’est sympathique ! Moi qui connait quelques mots de japonais grâce à ma ceinture jaune chèrement gagnée dans un dojo, je peux ainsi ajouter le mot « Inu » aux « Matté » et « Hajimé » que prononçait, il y a cinquante ans, mon prof de judo. Avec un « petit chien » (ça veut dire ça) au bout de la laisse, je peux étaler un rudiment de connaissance « canippone » qui peut faire merveille avec presque toutes les personnes. En ajoutant quelques anecdotes pêchées sur le net on peut encore augmenter sa popularité, il suffit pour cela de lire l’ article qui suit dans son intégralité :
http://japanization.org/quand-le-shiba-etait-au-bord-de-lextinction/
Vu de loin :
Les premiers shiba inu que j’ai vu, il y a 25 ans, se trouvaient principalement dans le quartier japonais du 15ème arrondissement. Aujourd’hui, ils ne sont plus rares et on en trouve dans tous les quartiers de Paris. De loin, les « rouges » font penser à des petits renards.

Vu de près :
Le shiba inu est un chien bien proportionné. Avec son museau pointu (il fait partie de la famille des spitz (« pointu »en allemand, encore du vocabulaire c’est épatant !), il peut bien respirer. Sa tête et son corps sont bien équilibrés, cela permet de faire avec lui de la course, du vélo (au trot) ou de la randonnée. N’attendez pas qu’ici que vous je fasse une théorie sur le caractère « primitif » de ce chien japonais. En vingt ans, j’en ai vu des distants et d’autres hyper collants…

Quelques portraits de Shiba Inu parisiens:

Moon Shiba Inu Paris15 Niji Shiba Inu Paris17 Jazz, Shiba Inu de couleur sézame noire dans le 16ème arrondissement shiba inu de couleur rouge